Kelly, Eléna et Lou sont 3 volontaires en service civique de la mission Alimen’Terre. Mais de quoi s’agit-il exactement ?
Le service civique est une mission d’intérêt général où s’engagent des jeunes de 16 à 25 ans sur une durée déterminée. Celui-ci est compatible avec des études et peux servir d’année de césure. Il peut se faire dans de nombreux domaines différents tels que culture et loisirs, éducation pour tous, santé, environnement etc…
Alimen’Terre est une mission portant sur quatre thématiques : le gaspillage alimentaire, le tri sélectif, la transition alimentaire et l’impact du plastique. Les volontaires sont présentes sur les temps du midi, périscolaire et TAP ainsi que sur certains temps scolaires jusqu’au mois de février. Elles sensibiliseront les enfants aux enjeux qui, pour nous, sont important à connaitre dès le plus jeune âge.
Qui sont-elles ?
Eléna : « J’ai 22 ans et ai obtenu mon diplôme de diététicienne il y a 1 an. Je recherchais donc un travail dans l’alimentation et voulais également découvrir le monde de l’animation. J’ai alors vu dans le service civique un moyen de faire le lien entre ma passion pour la nutrition et mon désir d’aider les autres.
Celui-ci m’apporte la première expérience dans cet univers qui m’était difficile d’accès dû à la crise sanitaire et me permet de ne pas rester inactive en me sentant utile. »
Kelly : « J’ai 21 ans et j’ai décidé de faire un service civique afin de me réorienter dans l’animation auprès des enfants. Après plusieurs années en études de commerce et plus tard de sport, l’idée de prendre une année où je pouvais faire quelque chose de totalement différent me tentait beaucoup.
Mon premier choix était « Ciné-Débat » mais n’ayant pas eu de nouvelle de leur part, je me suis dirigée vers Alimen’Terre et en suis très heureuse aujourd’hui. »
Lou : « J’ai 18 ans et sors tout juste du lycée. Ne sachant pas trop quoi faire par la suite, j’ai décidé de prendre une année en « stand-by » mais tout en me rendant utile. Etant très impliquée dans l’écologie et ayant déjà travaillé à de nombreuses reprises avec les enfants, cette mission me paraissait une évidence.
Je suis en parallèle une formation à distance afin de devenir photographe et malgré les difficultés du début, l’organisation s’est faite petit à petit »